Elles concernent 5 à 30% de la population active. Le coût des troubles liés à la consommation addictive d’alcool, de tabac et de drogue est évalué à 130 milliards d’euros, soit 1,5% de la masse salariale annuelle des entreprises françaises !

Le phénomène s’est aggravé avec la crise sanitaire, confirmant les plus anciennes (alcool, tabac, ou drogues). Ainsi, au cours de l’année 2021, d’après un sondage BVA, 1 consommateur sur 3 a augmenté sa consommation de tabac, cannabis et/ou médicaments psychotropes.

Pendant les confinements, près de 4 Français sur 10 disent avoir rencontré des difficultés à maîtriser leur consommation.

Ces périodes de stress ont révélé de nouvelles addictions : la cyberdépendance et le workaholisme.

Les conséquences de ces pratiques sont multiples et dangereuse, tant sur le plan humain que pour a santé économique de l’entreprise.

On observe une baisse de la performance individuelle et une hausse de l’absentéisme : le taux d’absentéisme est trois fois plus élevé chez les salariés concernés par un problème avec l’alcool. Ça représente 10 à 13.000 journées de travail perdues chaque jour en France 

Côté santé, les le résultat est lui aussi très préoccupant puisque 10 à 20% des accidents du travail ont pour origine une pratique addictive (INSERM et CARSAT).

Pourtant, le sujet reste tabou en entreprise. Même lorsque l’on sait qu’un collège est victime d’une addiction, la plupart du temps, l’omerta est de règle. 

Mais aujourd’hui, 85% des DRH se disent préoccupés par la situation. Une question initialement de santé publique s’est invitée dans l’entreprise.

Rendez-vous dans quelques jours pour développer ce sujet ensemble.